Fin des vacances. Quelques réflexions sur les ambiances traversées.


San Remo
Quand on accepte de sortir des préjugés, on découvre l'envie de modernité, l'avant-gardisme.
Malgré tout, les fortes traditions restent, mais on ressent plus que tout l'envie d'avancer.

La manière dont leur réseau ferroviaire est organisé est, à ce titre, tout à fait remarquable.
J'ai été épaté par l'état des gares, des trains et l'engagement des personnes qui travaillent sur le réseau (surtout qu'au départ j'en avais une très très mauvaise image).

Chez nous, de l'autre côté de la frontière, on ne maîtrise toujours pas les fondamentaux.
Pire encore, 25 mn suffisent pour vivre le mépris du client, les regards vides, des défaillances techniques notables. Bref.

On peut pas simplement visiter ailleurs, comprendre leur fonctionnement et s'inspirer de leurs meilleures réalisations... ?


Copenhague
Après 5 mois à avoir vécu là-bas, retourner et retrouver l'une des plus charmantes capitales d'Europe, cosy, intime et accueillante. Rien n'a changé. Se sentir bien.
Ne pas traverser une rue sans que de beaux souvenirs ressurgissent.

Retourner a l'universite et le plaisir réciproque de retrouver tous les régionaux.

Les deux chansons qui "ont marquées" l'Erasmus me reviennent à l'esprit : Timbaland / Way I Are et N. Furtado / Say It Right parce qu'elles passaient en boucle partout...

Repenser a DJ, un peu malheureusement...

Et s'entendre dire par les personnes que l'on retrouve après avoir vécu 5 mois avec eux "oh coucou, mais qu'est-ce-que tu est venu faire là ?"... Se demander si l'on est vraiment à sa place...


Stockholm
Je dois dire que plutôt eu l'impression d'être dans un Berlin un peu nordisé. On ne retrouve pas l'ambiance d'un pays Scandinave...
La capitale n'est pas la ville la plus représentative du pays.