Aphone sur son joueb, écrit. Beaucoup. Pour, je la cite : « parce que je ne peux pas me faire à l'idée qu'une vie se résume à quelques photos, à un acte de naissance, et puis à un acte de décès, je crois que c'est juste trop douloureux ».
On retrouve ici un des éléments du
core humanity :
s’inscrire dans l’éternité.
Dans la planète aux 6 milliards ½ de cerveaux, c’est un combat. Contre le temps, contre les forces extérieures, contre les autres aussi.
Combien y arrivent ? Qui retient-on au final ?
Pourquoi y croît-on tous ?
à 15:26